Un gâteau écrémé,
chandelles calcinées
Des applaudissement,
des rire jaunes,
Je ferme la porte de mon passé,
pour mieux oublier,
et j'essaye tant bien que mal,
de me souvenir de bon moment,
rare pourtant,
c'est l'arrivée de mon anniversaire,
pour me rappeller que ma vie représente le désert,
du désespoir ou de la raison.
Mais surtout pour me rappeler,
que mes tendres années de mon enfance,
ou je rêvais dans l'insouciance,
sont bien terminées.
Un peu nostalgique,
je m'aperçois que je suis encore vivante,
bien qu'exilée de ma société,
je survis comme je peut,
pour encore combien de temps?
je ne sais pas mais en ce jour,
il y a déja trop de regrets,
Impossible d'avancer,
sans les enterrers,
Il me reste une chose a faire,
rester comme je suis,
et poursuivre ma petite vie,
dans cette société pourrie.